Le chef de l'Etat plante un arbre à l'occasion de la semaine nationale de l'arbre. Tchad. Crédit photo : présidencetchad
En célébrant ce 20 Aout 2013, la semaine nationale de l’arbre, le Tchad témoigne de son engagement pour la lutte contre la dégradation de l’environnement accentuée par progression du désert qui gruge, intolérablement pas moins de 7 kilomètres par an. Planter des arbres est une chose, lutter contre leurs coupes abusives en est une autre. Les autorités tchadiennes doivent également savoir que dans cette lutte contre le réchauffement climatique, la dégradation drastique de notre couvert végétal…Toutes les avenues sont envisagées pour donner une empreinte verte, plus écologique et respectueuse de l’environnement de tous nos projets.
On doit migrer dans les réseaux de nouvelle génération, en particulier ceux à base de fibres optiques, qui sont de manière directe et indirecte plus respectueux de l’environnement. Notre pays doit opter pour la révolution technologique pour nourrir sa mutation écologique. On ne doit pas seulement planter des arbres. Il faut s’engager entièrement pour des matières organiques biodégradables (Léda, etc.), des sources d’énergie nouvelles (fourneau solaire, gaz, etc.) en substitution au charbon et au bois. Avoir une politique de recyclage de nos déchets en compost, en papier mâché, en pain de chauffe, etc.
Toutes nos installations (câbles et fils électriques, etc.) proviennent essentiellement du cuivre. Celui-ci est un métal qui provient des mines qui utilisent des procédés trop polluants et du moins destructeurs de l’écosystème naturel contrairement à la fibre optique dont la production est produite à partir de matériaux simples avec très peu d’empreinte carbone. Selon Wikipédia : « Une fibre optique est un fil de verre ou en plastique très fin qui a la propriété d’être un conducteur de la lumière et sert dans la transmission de données. Elle offre un débit d’information nettement supérieur à celui des câbles coaxiaux et supporte un réseau « large bande » par lequel peuvent transiter aussi bien la télévision, le téléphone, la visioconférence ou les données informatiques. ». Où en est notre pays dans sa marche sa transformation économique?
Très peu de responsables des TIC rêvent d’un Tchad relié entièrement par la fibre optique, alors que celle-ci est aujourd’hui un atout majeur dans la recherche de des opportunités permettant le renforcement bénéfique du pole d’excellence industriel. Nos décideurs et autres techniciens du domaine des technologies de l’information, de l’industrie et du commerce ignorent magistralement que la fibre optique et son réseau à Haut Débit, représentent un enjeu industriel i et économique majeur pour le Tchad qui ne doit pas rester en marge de ce grand village planétaire que le monde des TIC. Notre réseau internet est encore vieux, trop vieux comparativement à ceux des nombreux pays africains, handicapant ainsi la compétitivité de nos entreprises et rendant presque « aveugle » nos sociétés et operateurs économiques. Notre pays est en retard, trop en retard dans le domaine des nouvelles technologies, c’est comme si les gens utilisaient des voitures modernes, on serait nombreux, à l’âge des vieilles Citroën qui démarraient avec des manivelles…Parfois, pour envoyer un simple courriel du Tchad, il faut prendre en considération la lenteur du système informatique. À quand la révolution informatique? À quand le passage de notre pays de l’âge de pierre (informatique) à l’âge de la fibre optique? Les hautes autorités du pays ont affiché une réelle volonté de doter notre pays de la fibre optique, mais sont-elles bien conseiller par ceux-là même qui sont chargés de promouvoir les nouvelles technologies de l’information?
On doit migrer dans les réseaux de nouvelle génération, en particulier ceux à base de fibres optiques, qui sont de manière directe et indirecte plus respectueux de l’environnement. Notre pays doit opter pour la révolution technologique pour nourrir sa mutation écologique. On ne doit pas seulement planter des arbres. Il faut s’engager entièrement pour des matières organiques biodégradables (Léda, etc.), des sources d’énergie nouvelles (fourneau solaire, gaz, etc.) en substitution au charbon et au bois. Avoir une politique de recyclage de nos déchets en compost, en papier mâché, en pain de chauffe, etc.
Toutes nos installations (câbles et fils électriques, etc.) proviennent essentiellement du cuivre. Celui-ci est un métal qui provient des mines qui utilisent des procédés trop polluants et du moins destructeurs de l’écosystème naturel contrairement à la fibre optique dont la production est produite à partir de matériaux simples avec très peu d’empreinte carbone. Selon Wikipédia : « Une fibre optique est un fil de verre ou en plastique très fin qui a la propriété d’être un conducteur de la lumière et sert dans la transmission de données. Elle offre un débit d’information nettement supérieur à celui des câbles coaxiaux et supporte un réseau « large bande » par lequel peuvent transiter aussi bien la télévision, le téléphone, la visioconférence ou les données informatiques. ». Où en est notre pays dans sa marche sa transformation économique?
Très peu de responsables des TIC rêvent d’un Tchad relié entièrement par la fibre optique, alors que celle-ci est aujourd’hui un atout majeur dans la recherche de des opportunités permettant le renforcement bénéfique du pole d’excellence industriel. Nos décideurs et autres techniciens du domaine des technologies de l’information, de l’industrie et du commerce ignorent magistralement que la fibre optique et son réseau à Haut Débit, représentent un enjeu industriel i et économique majeur pour le Tchad qui ne doit pas rester en marge de ce grand village planétaire que le monde des TIC. Notre réseau internet est encore vieux, trop vieux comparativement à ceux des nombreux pays africains, handicapant ainsi la compétitivité de nos entreprises et rendant presque « aveugle » nos sociétés et operateurs économiques. Notre pays est en retard, trop en retard dans le domaine des nouvelles technologies, c’est comme si les gens utilisaient des voitures modernes, on serait nombreux, à l’âge des vieilles Citroën qui démarraient avec des manivelles…Parfois, pour envoyer un simple courriel du Tchad, il faut prendre en considération la lenteur du système informatique. À quand la révolution informatique? À quand le passage de notre pays de l’âge de pierre (informatique) à l’âge de la fibre optique? Les hautes autorités du pays ont affiché une réelle volonté de doter notre pays de la fibre optique, mais sont-elles bien conseiller par ceux-là même qui sont chargés de promouvoir les nouvelles technologies de l’information?